Inscrites à l'Unesco en 1986, Ramsar depuis 1999, les grottes constituent la plus grande zone humide souterraine au monde. Une fois dans le canyon souterrain, on passe par le pont Cerkvenik à plus de 50m de la rivière
Extrzit de mon carnet de voyage
Mercredi 15 Août 2018
On hésitait entre celles-là et deux autres : Skocjan est inscrite à l'Unesco et classée Ramsar (il s'agirait de la plus grande zone humide souterraine au monde), avec un pont souterrain qui passe 50m au-dessus de la rivière.
Postojna (anciennement grotte d'Adelsberg) est la plus grande attraction du pays (avec un petit train pour faire une partie de la traversée).
Krizna, la dernière, est peu visitée, bien que la 2ème du pays en taille. Mais elle serait plus difficile d'accès avec parfois des passages à 'escalader' à l'aide d'une corde. Et aussi plus éloignée de notre route de retour.
Après un vote suivi d'une décision unilatérale de ma part, on se rend donc à Skocjan. A peine arrivé, on voit un groupe de 100 à 200 personnes quitter la zone de la billetterie et suivre un guide. Ca calme... Des jeunes du staff nous annonce que les parkings sont pleins et nous donnent un plan pour un parking situé à 3km, avec une navette gratuite qui peut nous ramener ici. Ca re-calme... Finalement, on trouve quand même une place ici (un groupe doit avoir fini un tour à l'instant, ce qui libère de la place). On se gare et Karine et moi partons à la billetterie en éclaireurs : 20€ par adulte, 10€ <14ans, 16€ étudiant pour le tour souterrain. Pour suivre le canyon de l'extérieur, sans guide, c'est 12.5€ et 6.5€ et pour les deux, 24€ et 12.5€. Ca re-re-calme. Départ toutes les 1/2 h. Plus l'heure d'attente qu'ils annoncent pour faire la queue pour les billets : départ possible dans 1h30. Ca re-re-re-calme. Le principal intérêt des grottes, pour moi, c'était le pont souterrain Cerkvenik. Mais bon, 80€ à 5, 1h30 d'attente, groupe guidé de 150 personnes. Chacun pour des raisons différentes, on vote contre. Et comme c'est censé être beaucoup moins touristique que Postojna, on oublie aussi celles-là.